La Lie philosophe, les Philosophes au cimetière !

Un début de match difficile pour les philosophes qui encaissent deux touchdowns en quelques tours sur leur réception, suite à des ratages et une grosse pression des morts-vivants, puis à cause d'un blitz juste derrière.

Ils n'en réduisent pas moins le score avant la mi-temps, après une jolie passe sans relance à une furie marquée, qui réceptionne et esquive.

On ne parviendra pas à en mettre un troisième en fin de première, faute à une bonne défense adverse et une légère erreur d'appréciation de ma part.

En seconde, il nous faut plusieurs tours avant de percer la défense et marquer le troisième touchdown.

On se sent plutôt en sécurité à ce stade mais les elfes noirs nous surprendront de nouveau avec une nouvelle longue passe qui leur permet de revenir.

On n'a plus que trois tours à tenir à 11 contre 10, mais les philosophes envoient leur assassin dans la mêlée, coller le porteur après une esquive à -1 et une à -2. Il rate néanmoins sa tentative d'assassinat. On se prépare à le dégager de là mais 12 dés de blocages d'affilée n'y suffiront pas, le bougre jouant de sa glissade contrôlée. Derrière, galvanisé comme pas possible, il poignarde méchamment notre douce Maryvonne qui rejoint l'infirmerie. Il est encore possible pour les elfes de marquer et on s'inquiète, mais le ramassage à -3 échouera. On préfère ne pas tenter de folies derrière (la passe pour le 4-2 à la seconde goule) et on tâche de se placer au mieux en défense. Les elfes auront une dernière chance d'égaliser mais la furie se vautrera sur son blitz.

3-2 au final, on s'est fait une belle frayeur à la fin mine de rien, après un début de match aisé qui ne laissait pas présager tant de difficultés.

Merci à Descartes29 pour le match et bonne chance pour la suite !

bonne analyse, les 4 premiers tours horrible pour mes elfes noirs qui réussissent à enchainé 2 double 1 sur deux tours en receveur ce qui ne pardonne pas et confère une avance impossible à rattraper malgré le dernier tour où la nouvelle furie ne tient pas le paquet de la frénésie pour réussir à égaliser